Jordan Chiasson

Guitariste, chanteur, réalisateur, caméraman, monteur vidéo et monteur sonore

Madelinot de 21 ans, j’ai grandi dans une famille où la musique occupe une place importante et c’est en trouvant mon inspiration dans le talent de mes proches que j’ai construit mon propre chemin artistique.  J’ai été vite fasciné par les subtilités de la guitare, mêlant le finger style, le blues et le folk. Commençant par quelques prestations dans les soupers de famille, à Noël et au jour de l’an, j’ai vite pris goût à l’art de la scène. Mon implication dans le monde de la musique a donc augmenté au fil des années, me permettant d’œuvrer dans plusieurs spectacles amateurs. J’ai aussi participé plusieurs fois à la finale locale de secondaire en spectacle et deux fois à la finale régionale. C’est à la suite de l’une des éditions de Secondaire en spectacle que j’ai eu l’immense plaisir de pouvoir participer à mon premier « vrai » concert au Vieux-Treuil avec un groupe d’amis. Eh bien, j’ai eu la piqûre ! Ce fut le coup d’envoi vers d’autres prestations, notamment au Site de la Côte, au Vieux-Treuil et aux Pas-Perdus. Depuis quelques années, mes horizons se sont agrandis vers Montréal, Rimouski et Québec où j’ai pu partager la scène avec des personnes passionnées. J’ai aussi participé deux fois à la finale locale de Cégep en spectacles et j’aurai l’honneur de me présenter à ma première finale régionale en mars.

Après m’être investi dans l’interprétation musicale, je me suis lancé dans la création au cours de la dernière année. C’est d’ailleurs avec l’une de mes compositions que je participerai à la finale régionale de Cégep en spectacle. La musique que je me plais à créer rappelle des airs de guitare celte, folk et blues. Je m’inspire d’auteurs comme John Butler, Mike Dawes et Andy Mckee. Je m’inspire aussi des voyages que j’ai réalisés, des gens que j’ai rencontrés et des histoires que j’ai entendues. Tous ces éléments apportent des couleurs uniques aux pièces qui forment finalement un beau et grand tableau. J’aime garder un contact sincère avec le public et avoir l’opportunité de présenter un morceau que j’ai composé ne pourrait mieux combler cela.

Il y a trois ans, j’ai dû déménager à Montréal pour poursuivre mes études dans un programme qui m’allumait. J’ai pu y explorer d’autres horizons, notamment le cinéma. Après plusieurs mois d’exploration de techniques et d’étude du documentaire, je me suis découvert une passion de création cinématographique. L’univers des possibilités qui se présentaient à moi lorsque je me trouvais derrière la caméra m’a fait voir une tout autre approche à l’art et à la manière dont les idées et les émotions peuvent être transmises. Je me suis finalement rendu à Terre-Neuve lors de ma dernière session de cégep pour tourner un documentaire sur les sensations fortes, dans lequel j’ai eu la chance de filmer des scènes dans les vagues de surf et dans les falaises en escalade. Avec cette expérience est né en moi un rêve de tourner des documentaires sur le plein air partout dans le monde.

En vue de rendre l’expérience du documentaire encore plus personnelle, j’ai récemment commencé à explorer la création de trames sonores et de musique de film. Cette méthode me permet d’explorer d’autres horizons et d’utiliser de nouveaux outils pour mettre en mots et en notes les idées transmises dans un projet cinématographique.